Elizabeth Summerby * NIVEAU 0
Nombre de messages : 141 Age : 32 [ PUF _ : Tutuce [ TES CHEVAUX _ : Trustworthy Fireman des Envolées [ HUMEUR _ : Chnageante Date d'inscription : 19/06/2008
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| Sujet: DECOUVERTE DE TRUSTWORTHY FIREMAN [PV DENIS B.] Lun 30 Juin - 21:08 | |
| Lien du pansageIl est presque huit heures lorsque j'arrive dans la carrière de dressage. Je sais, c'est tard, surtout pour un cours. Mais je ne peux pas vraiment faire autrement, sachant que je ma seule pose est entre midi et deux heures et que mon prof a, lui aussi, un cheval à s'occuper. Me voilà, donc, prête à monter pour la première fois, mon cheval. Je suis seule. Denis n'est pas encore arrivé. Je décide donc de commencer seule, ne serais-ce qu'à monter, appréhendant un peu. Ma boule au ventre, qui avait disparue lors du pansage, est revenu durant le trajet entre les écuries et la carrière. Trust a recommencé sa comédie d'étalon, et, encore une fois, j'ai à peine été capable de le contrôler. J'ai peur qu'il en fasse de même lorsque je serai sur son dos. J'emmène donc mon beau bai au centre de la carrière. Là, je le ressangle, surveillant ses réactions. Il plaque ses oreilles en arrière. Typique, tout à fait normal, tous les chevaux font ça. Je m'attendais à quelque chose de pire. Puis je descends mes étriers, et passe les rênes au dessus de l'encolure. Toujours rien. Tant mieux, me direz-vous ! Vient alors le moment où je pose mon pied gauche dans son l'étrier. Eh non, toujours rien. Ça m'inquiète, mine de rien. J'attrape mes rênes à la couture, je n'ai pas envie qu'il se sente prisonnier de ma main. Puis je m'appuie sur le pommeau et le troussequin pour me hisser. Enfin, il bouge. Il a fait deux pas, et s'est arrêté. Je le regarde un moment, la mine abasourdie. Pour un cheval qui, il y a quelque minutes de ça, montrait encore quel bel étalon il était, je dois avoué qu'il s'est bien calmé. Tout en lui demandant de partir au pas rênes longues, je le félicite longuement de nombreuses caresses, gratouilles, ou autres. Je ne lui demande pas plus. Je me souviens que mon mono, à Londres, nous faisait redescendre à chaque fois que nous commencions la détente sans lui. Il affirmait que c'était une marque de respect que d'attendre le professeur pour commencer un cours. Je suis d'accord avec lui. Nous marchons donc un moment, attendre l'arrivée du nouveau professeur.
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