Evaluation Lucas Lopez [ CONFIRME ]

= = > Dressage < = =

Le jeune homme entra dans la carrière, suivit de sa belle petite pouliche au travail. Nouvelle recrue qu’il affectionnait tout particulièrement de par son caractère bien trempé mais aussi par sont goût du travail et de l’apprentissage. Jument qu’il aimait travailler autant sur le plat que sur les barres, il était certain qu’il ferait d’elle une grande jument de CSO vu le coup de saut qu’elle présentait après seulement quelques petits mois de travail. Il avait décidé pour aujourd’hui de travailler la pouliche sur le plat, pas une séance super dur, puis que la pouliche allait faire son premier concours dans quelques jours. Il avait donc décidé de travailler sur les assouplissements, chose que Vassy ne maîtrisait pas encore très bien.

La petite pouliche avait un défaut, celui d’être assez sur l’œil est craintive, c’est pourquoi, le chemin entre les écuries et la carrière était toujours différent, il suffisait qu’il y est par exemple un petit oiseau qui s’envole et la jument faisait un écart, certes pas très important mais qui la stressait pour quelques foulées suivante. Lucas était toujours d’une patience irréprochable avec elle, il lui parlait et la caressait afin qu’elle ne prenne pas peur et ce sente rassuré par celui qui était son cavalier depuis maintenant 9 mois, il la connaissait parfaitement bien puisqu’il l’avait débourré. Aujourd’hui le temps était un peu sombre et orageux, le jeune homme sentait donc la jument un peu plus stressée qu’a son habitude. Un petit sourire vint ce poser au coin de ses lèvres, il ce sentait fier d’avoir choisi ce travail qui serai plus que bénéfique avec une jument un peu stressée.
Il poussa gentiment la porte, suivit dans la grand alezane et foula le sable de la carrière, suivit de son petit monstre qui regardait partout sans pour autant perdre de vu son cavalier, des fois qu’il ce sauve, on ne sait jamais, il ne faudrait pas qu’elle ce retrouve ici toute seule !

Les deux tours de carrière ce passèrent sans encombre, la jument était à sa place derrière son cavalier, et vu l’heure matinale, les alentours de la carrière étaient des plus calmes, c’est pourquoi Vassy ne trouva pas trop d’excuse pour faire sa pauvre petite pouliche complètement apeuré, ce serai sans doute une autre histoire lorsque le jeune homme serait sur son dos.
Il décida donc de l’arrêter au milieu afin de ce mettre en selle, passant ses rênes par dessus l’encolure, il la re-sangla et descendit ses étriers, puis il lui tira les antérieurs pour éviter tout plis et donc blessure. Le jeune homme fit le tour de sa grande bai de sorte de vérifier que tout était en ordre avant de mettre le pied à l’étrier et de monter en douceur sur le dos de son équidé. La grande taille de la pouliche n’était pas un problème pour Lucas qui était lui-même assez grand, c’est pourquoi il n’avait pas de soucis à ce mettre en selle, de plus il avait l’habitude de monter de grands chevaux puisque les trois quarts de ses montures étaient des chevaux de grandes tailles.
Il serra les jambes avant même de chausser ses étriers pour mettre son cheval au pas sur la piste. La détente commençait dès lors et le jeune homme, commença lui aussi à s’échauffer, son frère lui avait toujours appris à faire quelques exercices en même temps que son cheval s ‘échauffer au pas de sorte de préparer ses muscles à l’effort et aussi en cas de chute. De plus, cela habitué le cheval à avoir un cavalier qui bougeait sur le dos.
Vassy marchait la tête haute, comme à son habitude, regardant partout pendant que le jeune homme faisait des cercles avec ses bras, des rotations de bustes, ainsi que s’étirer les cuisses. La jeune jument n’y faisait même plus attention, depuis son débourrage il faisait ce genre d’exercices, c’était donc devenu pour elle comme un rituel.
Une fois échauffer, il fit descendre ses jambes le long des flancs de sa jument pour les mettre au contact, elle n’avait pas besoin de sollicitation de la part de son cavalier pour avancer, elle avait une impulsion naturel, cependant le jeune homme avait toujours les jambes au contact.
Les jambes, c’était la base de tout, voilà ce qu’on lui répétait depuis qu’il avait posé ses fesses sur un poney, c’est à dire depuis de nombreuses années, et le jeune homme c’était par la suite aperçue lui même de l’importance des jambes dans le travail du cheval et dans la position du cavalier.

Vassy était un peu stressée, Lucas le sentait dans son pas un peu précipité, alors il posa une main sur l’encolure de sa pouliche, et lui parla d’une voix douce et calme pour qu’elle sache qu’il était là, et que de toute façon elle n’avait rien à craindre. La jument connaissait l’endroit, mais sans doute le temps la rendait un peu anxieuse, et puis il y avait des jours ou elle était plus stressé qua d’autre, sans raison apparente, ce sont les chevaux me direz vous et le jeune homme s’affairait à la détendre, comme à son habitude. Au fur et à mesure des tours, la bai commença à s’apaiser petit à petit et à baisser doucement la tête. Le jeune homme l’encouragea en serrant un peu ses jambes pour lui dire d’engager encore plus sa masse et d’aller chercher loin devant avec son bout du nez pour étirer son dos qui finalement n’était absolument pas chaud. La jeune jument avait l’habitude de ses exercices puisque le beau goss procédait toujours dans le même ordre lors de ses détentes, c’est pourquoi elle étirait sont dos sans soucis, d’habitude elle le faisait toute suite, mais dans la mesure ou aujourd’hui elle était un peu stressée, elle avait besoin de solicitation de la part de son cavalier.

Lucas remonta ensuite tout doucement sur ses rênes pour établir un contact tout léger sur la bouche de sa monture, juste pour avoir un peu plus de prise si jamais elle partait en vrille lors du début de la détente au trot. Il serra ensuite doucement ses jambes en donnant un petit coup d’assiette, la jument, finalement très bien dressé partie tout de suite dans une bonne allure en donnant un petit coup de tête vers le bas. Elle avait remonté son regard et observait les alentours, elle n’était pour l’instant absolument pas concentré. Alors le jeune homme mit un peu plus de jambes pour le remettre dans une allure de travail et lui demander de ce mettre doucement au boulot tout en écoutant ce qu’il lui demandait. Il avança tout doucement ses mains une fois que la jumentl était revenu à l’écoute de celui ci. Et la réaction de sa pouliche fut immédiate, elle baissa la tête, le bout du nez vers le sol, c’est pourquoi il lui donna un peu plus de rênes tout en poussant dans son assiette et dans ses jambes. Le jeune cavalier sentait le dos de son cheval s’étirer sous lui, c’était très agréable pour lui et un petit sourire illumina son visage, il était si fier de sa jeune recrue. Il lui plaça une petite caresse sur l’encolure pour le féliciter.

« Bien ma grande ! »

Bien qu’il était aux ordres, le jeune homme sentait que son cheval n’était pas très motivé, en effet, elle ce qu’il aimait c’était le saut, il était donc fort possible qu’elle fasse des petits sauts d’humeur lorsque le jeune homme lui demanderai de venir ce poser doucement sur le mort ou autre chose qui risquaient de la contrarier !! Comme dit précédemment, la pouliche avait un caractère bien trempé et elle ne cachait pas sa préférence pour le saut ! Les oreilles de Vassy variaient d’avant en arrière suivant les demandes de son cavalier et ce qui ce passait devant elle. Elle avait les naseaux à ras du sol et trottait dans une bonne allure, en essayant de garder cette attitude le jeune homme la fit changer de main dans la diagonale, elle ce remonta un peu, alors il reprit doucement l’exercice avançant ses mains et mettant des jambes, la bai ne tarda pas à revenir tirer son dos, il la caressa donc de nouveau. Demander beaucoup, ce contenter de peu, récompenser beaucoup, voila la devise du jeune homme, qui avait toujours bien marché avec ses chevaux.

Après un bon trot au deux mains, Lucas repassa sa monture au pas dans une transition souple et clair, il la laissa souffler un peu et vérifia sa sangle, il allait maintenant commencer à la faire bosser un peu dans sa détente, elle risquait de ne pas être très contente, mais bon pour être un cheval de saut, il fallait avoir de bonne base en dressage et un dos en place et musclé, c’est pourquoi il était important qu’elle travaille vers le bas pour muscler son dos dans le bon sens.

Lorsqu’elle eut bien soufflé, le jeune homme remonta doucement sur ses rênes afin de tendre un peu plus sa jument qui avait tendance à ce remonter lorsqu’on reprenait contact avec sa bouche. Il commença doucement à jouer sur ses doigts pour la détendre dans sa bouche et mit des jambes, discrètement pour qu’elle garde l’allure, et vienne ce tendre convenablement. Elle commença à trottiner puisqu’elle n’avait pas envi de ce plier à la demande de son cavalier, alors celui ci la repassa en douceur au pas et continua ses demandes dans le calme. Elle fini par venir céder, alors à son tour, Lucas céda et la caressa.
Il continua les demande jusqu'à temps qu’elle reste en place sur son mort, pour cela il lui demanda aussi des figures de dressage afin qu’elle s’échauffe doucement, de toute façon la séance et la détente serait un peu confondues puisqu’il avait décidé de travailler les assouplissements.
Vassy était cependant assez remontée dans son encolure, elle était encore un peu stressée et son placement de nuque était assez haut, bien qu’elle soit un peu ronde, du coup elle n’engageait pas derrière et son dos n’était pas remonté, ce n’était bien sur pas ce que recherchait le jeune homme, il voulait tout le contraire, un placement plutôt bas et un dos remonté.

Lucas décida cependant de le passer au trot, elle était jeune, il ne fallait pas lui prendre la tête à faire le même exercice durant trop longtemps d’affiler, depuis qu’il la montait, il avait toujours appris à varier les exercices et c’est sans doute pour ça qu’elle était aussi assidus au travail et aussi contente d’apprendre.
Lorsqu’il pressa les mollets pour demander le trot à sa jument, celle-ci parti d’un bon, en donnant un léger coup de cul et en partant bien trop vite, ce qui voulait dire en son langage « Donne moi des rênes et me fait pas travailler », alors le jeune homme tacha de ce redresser dans son dos, afin de la reprendre, il ferma aussi les jambes pour le remettre en équilibre sur son arrière main, la faire passer dessous et bien sur il tenait devant pour la ralentir, pas contente de la demande de son cavalier, elle lança une grosse ruade à laquelle le cavalier s’attendait, il ce redressa et lui remonta la tête pour qu’elle ne continu pas, et il remit des jambes pour la remettre en avant. La plaçant sur un cercle il lui demanda doucement de venir céder une fois qu’il l’avait mit dans une allure de travail. Il ne ce formalisait pas des sauts d’humeur de sa monture, il avait l’habitude et au moins cela voulait dire qu’elle avait du caractère, ce que l’homme aimait beaucoup et ce qui était important pour faire un bon cheval de concours.
La grande bai, quand même un minimum aux ordres, après que son cavalier est insisté un peu, vint commencer doucement à ce tendre, baissant un peu la nuque.
Continuant à jouer sur ses doigts, la jument commença à ce détendre un peu et à mâchouiller, le jeune homme la caressa pour la féliciter puis il changea de main, faisait les mêmes demande à l’autre main.

Pour la félicité de son comportement, le jeune homme relâcha ses rênes un ou deux tours de carrières, la réaction de la pouliche fut immédiate, elle baissa la tête et planta le bout de son nez dans le sable tout en marchant d’un pas très actif. Lucas la caressa et la laissa souffler doucement. Une fois cela fait, il reprit doucement le contact sur la bouche de sa jument, une fois qu’il fut tendu, il plaça ses aides pour le galop à gauche. Vassy parti du pas au galop sans ce faire prier, mais dans une ruade assez forte qui fit craquer le dos du jeune homme. Il lui remonta la tête et mit ses jambes, c’était tellement habituel qu’il n’y faisait maintenant presque plus attention, cependant il aurai aimé qu’elle perde cette mauvaise habitude, c’est pourquoi il s’efforcer de la corriger du mieux qu’il pouvait sans pour autant la braquer. C’était toujours un fin jeu entre la douceur et la fermeté.
Il la mit donc au galop de travail, faisant très attention à sa position, jambes au contact, mains à leur place, souples mais qui résistent. La jeune jument avait une bonne attitude, bien qu’elle tirait assez sur son cavalier essayant d’accélérer, mais celui-ci la retenait tout en restant souple. Il lui demanda ensuite de galoper sur un cercle, elle ronflotait des naseaux poussant de plus en plus fort sur ses postérieurs, mais le jeune homme, habitué, la tenait très bien. Une fois qu’il eut assez galopé, il prit la diagonale, demanda une transition au trot, au pas, puis il redemanda le galop avant de la finir.
Lucas la tenait fort dans son dos pour parer à tout saut d’humeur et gardait une petit cadence de galop de travail bien que ce ne soit pas toujours facile avec une petite furie comme elle qui tirait pour essayer de le faire lâcher, mais ce n’était pas dans les habitudes du jeune homme. Lorsqu’il fut dans un petit galop cadencé, il céda doucement dans ses mains, puis la repassa, après un tour, au trot, et enfin au pas, rênes longues, il la laissa souffler en la félicitant.

Content de ce début de séance, le jeune homme félicita encore longuement sa pouliche, elle était mieux de jour en jour et il était certain qu’elle deviendrait une grande jument de concours et qu’elle ferait chavirer le cœur de plus d’un cavalier.

Une fois que sa jeune jument eut bien soufflée, le jeune homme reprit ses rênes et lui demanda de partir au trot une fois qu’elle fut tendu. Dans une cadence de travail bien sur, le mouvement en avant de la jument dans la transition montante ce fit un peu brusquement, sans doute trop pressée de partir au trot, ou alors voulant simplement ennuyer son cavalier, le cheval avait fait un gros bon en avant. Il la recala donc doucement dans un petit trot de travail, comme toujours afin d’optimiser les conditions de travail et d’avoir une monture aux ordres.

Il demanda ensuite doucement à sa selle française des flexions d’encolure, d’abord petites, il emmena le bout du nez à droite, puis à gauche tout en gardant la jument en ligne droite, il mobilisait juste l’encolure. Sur des mains très souples pour ne pas la braquer, encore et toujours en douceur, c’était la clef de la réussite, surtout avec une pouliche comme celle là. Vassy, comme s’en doutait le jeune homme, fut plus résistante à droite, à gauche tout allait bien, elle ce pliait en étant basse, alors qu’a droite, elle relevait la tête et ce contractait dans sa bouche. Il décida donc de la placer sur un cercle à main droite, et de lui mettre légèrement le bout du nez à l’intérieur, mais plus franchement qu’une simple petite incurvation. Il utilisait une main intérieur retourné en rêne d’ouverture, mais très discrète et qui jouait avec ses doigts afin de détendre la jument. Bien sur il utilisait aussi beaucoup sa jambe intérieur pour arrondir la pouliche autour de celle-ci sans oublier ses aides extérieurs afin d’éviter qu’elle ne ce traverse. Il régulait l’allure avec sa main extérieur, la tenant afin d’éviter qu’elle accélère pour ce sauver. Lucas agissait par pression discontinue ce qui ne mit pas de temps à faire réagir la bai qui vint doucement s’arrondir autour de la jambe du jeune homme, emmenant plus franchement son bout du nez, elle commençait à mâchouiller son mort ce qui était signe de décontraction, le cavalier céda et félicita.
La BWP n’était maintenant plus crispée sur son mort, et le jeune homme la senti aussi ce détendre dans son dos, tout devenait de plus en plus souple, il décida donc de reprendre la piste, et de la faire trotter large, ol rallongea doucement ses rênes et la jument vint chercher le sol en ce tendant sur ses rênes, c’était exactement ce que recherchait le cavalier, il était très content d’elle et la félicita donc.
Il redemanda de nouveau des flexions, de plus en plus grande à droite à gauche, la jument qui avait comprit l’exercice s’exécutait sans trop de problème, du coup le jeune homme félicitait, cependant il devait garder beaucoup de jambe car Vassy avait tendance à ralentir ou à ce traverser pour échapper aux flexions et ne pas trop bosser. Mais lorsque les demandes de son cavalier étaient claires, la pouliche écoutait volontiers.

« Bien Mam’Zelle, je suis fier de toi. »

La mise en main de la pouliche était maintenant beaucoup plus basse, plus franche et bien sur elle était détendue, mâchouillant son mort, elle commençait à baver abondamment, signe d’un travail dans le bons sens. Il chercha maintenant une mise en main très basse, c'est-à-dire que la jument était toujours ronde mais avec la nuque plus basse que le garrot, donc dans l’extension de l’encolure et la ligne supérieur, Lucas avait souvent fait cet exercice avec elle lorsqu’il l’avait débourré parce qu’elle était contracté, c’est pourquoi il n’eut pas de problème à retrouver cette mise en main après les quelques flexions d’encolure. Le placement du dos de la jument était maintenant parfait, avec un bon engagement des postérieurs et un dos remonté et rond, la pouliche travaillé dans le bon sens et donc ce musclait le dos convenablement sans risquer de ce faire mal.

Vassy trottait d’une allure active, changeant de direction aux demandes de son cavalier dont le visage rayonnait de fierté par l’allure de sa recrue et le caractère parfait de son équidé. Il sentait vraiment la force venir de derrière dans ce genre d’exercice et c’était nickel pour le saut, il sentait au fur et à mesure des séances qu’elle prenait du muscle. Et ouis bébé devient grand. Il eut un petit moment de nostalgie, si la jument continuait à évoluer aussi bien que ça, il devrait bientôt s’en séparer, elle n’était pas a lui c’était une jument qu’il avait au travail, afin de la revendre après pour des gens qui voulaient sortir en concours mais qui ne ce sentait pas capable de les dresser eux même.

Lucas rallongea ses rênes jusqu’a les avoir complètements longues et laissa sa jument étirer son encolure tout en la poussant dans ses jambes pour lui faire allonger le trot un peu, il la caressa, c’était la fin de séance, beaucoup pourrait dire que ce n’était pas grand-chose, mais la jument avait bossé dans le bon sens pendant une heure et pour une jeune louloute comme elle c’était très bien.

Rênes mit longues, le jeune homme plaça ses aides pour un départ au galop, et il la laissa faire à sa guise, ce mettant en équilibre il avait les mains super basses, plus que le garrot, cependant il ce tenait très droit pour parer à des sauts de moutons qui finalement ne tardèrent pas à arriver, la jument était toujours très contente d’être lâché de la sorte. C’était sa petite récompense après une bonne séance comme celle la !
Il la repassa ensuite doucement au trot, puis au pas. Rênes longues la bai avait la tête dans le sable, ce qui était signe d’une séance de dressage bien réussite, contente de Vassy, Lucas l’inonda de caresse et la félicita fortement. Elle avait transpiré un peu au dessus des yeux et paraissait toute crevée. Il dessangla même d’un trou pour la laisser souffler.

Une fois qu’il jugea qu’elle avait bien récupéré, et qu’elle ne soufflait plus, il l’arrêta au milieu et mit pied à terre, il remonta ses étriers et lui fit pleins de petits câlins, dessangla à nouveau de deux trous et enleva la muserolle de sa jument. Après avoir passé les rênes par-dessus la tête, il ce dirigea vers la porte, caressant doucement le chanfrein de sa pouliche pour le féliciter de la séance.

« Mon Ange je suis fier de toi, bonne séance je trouve petit cœur. Aller on rentre. »

A le voir comme ça avec cette jument, on ne le reconnaîtrait pas dans la rue, ou il est alors froid et distant. Il tisse des liens toujours très proche avec ses chevaux, ce qui fait de lui une personne vraiment différente de la vie de tous les jours. Sur le chemin il s’arrêté à côté des près pour la faire brouter, il la laissa quelques instants profiter de l’herbe bien grâce avant de la rentrer au box pour s’en occuper.

Texte

Discipline : Dans la partie du RP développée par obligation & si tout l'entrainement est fait en RP .

Reçu(e) en tant que CONFIRME

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